Kyoko Yaoiste pervers/e !
Messages : 139 Date d'inscription : 14/06/2014 Age : 33 Localisation : Dans les méandres nébuleux de mon esprit
| Sujet: Comment créer son e-book ? Mar 5 Mai - 6:22 | |
| Comment créer son e-book ? Bonjour et bienvenue sur le forum d’aide aux auteurs de l’Annuaire du Yaoi. Aujourd'hui, je vais vous aider à créer votre propre e-book à l’aide du logiciel Calibre, téléchargeable gratuitement ici. Pendant que vous installez votre logiciel, commencez à effectuer les premières étapes du tutoriel. Étape 1 : La mise en page de votre document/!\ Attention : N’utilisant que Word, certaines fonctions dont je vous parlerai seront à chercher par vous-même sur votre logiciel favori. La mise en page de votre document d’origine, avant conversion en e-book, est l’étape la plus importante de votre travail. Il est essentiel de respecter toutes les règles suivantes : 1. Utilisation des stylesPeu importe la police que vous souhaitez utiliser pour votre fichier (sachez par ailleurs que certaines liseuses de supportent pas toutes les polices), il est important que votre fichier soit configuré automatiquement. Une méthode très simple se déroulant en deux étapes : A. Corps du texteSélectionnez l’ensemble de votre document puis appliquez le style « Sans interligne » dans le menu Accueil puis Style. Votre document sera ainsi configuré par défaut. Faites ensuite un clic droit sur l’encadré du style, cliquez sur « Modifier » et appliquez la police et la taille que vous souhaitez. Dans cette fenêtre, vous pouvez également choisir la couleur de votre texte, sa position, ses marges, etc… Choisissez ce qui vous convient le mieux. Assurez-vous, avant de cliquer sur « Ok », que les options « Mettre à jour automatiquement » et « Nouveaux documents basés sur ce modèle » soient cochées. /!\ Attention : Un e-book convenable doit avoir un corps de texte justifié (Accueil, Paragraphe, deuxième ligne, première catégorie sur la gauche, dernier élément à droite, c’est-à-dire l’icône comportant quatre lignes de même taille, également applicable dans les modifications de styles). De plus, il lui faut un alinéa de minimum cinq millimètres (à programmer dans les modifications de styles ou simplement en le sélectionnant dans la règle. Cette règle apparaît au-dessus de votre document, si ce n’est pas le cas, allez dans Affichage, Afficher et cochez « Règle »). Cet alinéa permettra que vos paragraphes commencent automatiquement avec une marge et soient donc esthétiquement beaux et corrects. B. Titres de chapitrePour vos titres de chapitres, il va falloir utiliser un autre style. Placez votre souris sur un titre, aller dans Accueil puis Style et sélectionnez un style « Titre » (par défaut, ce sera un Titre 1, Titre 2, etc… Peu importe, cliquez sur un au hasard). Votre titre aura alors une typographie différente du corps du texte. Mais comme il ne correspond pas à ce que vous voulez, faites à nouveau un clic droit sur le Style et changez les données pour que cela corresponde à votre choix (cf : changement du style dans la partie précédente ; il n’y a pas de règles précises pour la mise en forme des titres de chapitre, cependant il est davantage apprécié que le titre soit centré et dans une police différente du corps du texte). Une fois que votre titre est à votre goût, il y a une nouvelle étape à faire. Dans Accueil, cliquez sur la petite flèche du menu Paragraphe. Une fenêtre s’ouvre alors avec deux onglets. Allez dans « Enchaînements » et cochez la case « Saut de ligne avant ». Cliquez sur « Ok » puis fermer. Normalement, cette option créera un saut de page automatique avant chaque titre de chapitre, afin que chaque début de chapitre commence sur une nouvelle page. Si cela ne se fait pas automatiquement, vous pouvez utiliser la fonction « Saut de page » dans le menu « Mise en page » et l’onglet du même nom. Cette option est importante dans la présentation générale de votre document. À présent, faites la même chose pour votre second titre. Placez la souris sur le titre en question et cliquez sur le même style de titre que vous avez utilisé pour votre premier chapitre. Le style appliqué se configurera automatiquement comme le précédent ; ainsi, vous pouvez vous-même vérifier que la police choisie est la même, ainsi que la taille et sa position. De même, si vous retournez dans Paragraphe, la case « Saut de ligne avant » devrait être cochée (si ce n’est pas le cas, assurez-vous de le faire). Appliquez donc votre style à tous les titres de votre document. Pourquoi est-ce important d’appliquer ces styles et de ne pas le faire manuellement ? Pour la simple et bonne raison que cette application permettra au e-book converti de générer automatiquement un sommaire ; ainsi, les lecteurs pourront aller d’un chapitre à l’autre si besoin sans tout lire depuis le début. Pour vérifier que votre sommaire a correctement fonctionné, allez dans le menu Affichage, dans l’onglet Afficher, cochez « Volet de navigation ». Une fenêtre s’ouvre sur votre gauche avec une barre de recherche et trois onglets. Dans l’onglet Titres présélectionné, vous devriez voir apparaître tous vos titres de chapitres, comme un véritable sommaire. Si ce n’est pas le cas, vérifiez les étapes précédentes jusqu'à ce que votre sommaire apparaisse. /!\ Attention : Ne créez pas vous-même de nouveaux styles car le paramétrage est très compliqué à gérer et, si vous ne le faites pas correctement, le formatage de votre document sera complètement faussé et le sommaire n’apparaîtra alors pas. /!\ Attention : Insérer un objet WordArt et une Lettrine sont à proscrire ! D'une part, cela n’apparaîtra pas dans votre e-book (les e-books ne sont pas formatés pour supporter ce genre d’applications), mais en plus, cela créera des bugs dans votre fichier. Utilisez seulement les styles pour donner le ton que vous souhaitez. 2. Les espaces insécables Nom de nom, mais qu’est-ce que c’est que ça ? Un espace insécable est un espace qui se glisse automatiquement avant le double-point (: ), le point-virgule (; ), le point d’interrogation (?), le point d’exclamation (!), les guillemets (« ») et le tiret demi-cadratin (–). C’est un genre d’espace magique qui permet aux caractères susnommés de ne jamais se retrouver seuls dans une nouvelle ligne. Pourquoi est-ce important ? Parce que c’est esthétiquement moche et incorrect de trouver un de ces caractères seul à la ligne. Pourquoi cet espace insécable ne se met-il pas automatiquement ? Sachez que votre document est configuré de telle sorte que des espaces insécables se mettent automatiquement (car, contrairement aux anglophones, c’est une règle dans l’écriture que votre logiciel français applique automatiquement). Alors pourquoi, parfois, je n’en ai pas ? Pour la simple et bonne raison que nous corrigeons, effaçons, réécrivons certains passages. Alors forcément, le logiciel finit par se perdre dans ce que nous voulons et oublie, dans le cas de réécriture ou d’insertion d’un passage, d’un collage, ou que sais-je encore, de configurer le document de telle sorte à ce que l’espace insécable soit maintenu. Comment voir que l’espace insécable a été retiré ? Visuellement, tout simplement. Si vous voyez un double-point ou un point d’interrogation seul à la ligne ou collé au mot qui le précède, cela signifie tout simplement que le formatage s’est loupé. Mais rassurez-vous, cela arrive assez rarement, la plupart du temps l’espace insécable est maintenu. Cependant, cela ne fait pas de mal de vérifier de temps à autre. Comment remettre cet espace insécable ? La barre espace ne suffit pas ? Eh bien non, la barre espace n’est pas suffisante en elle-même pour créer cet espace insécable. Pour ce faire, il vous faut maintenir appuyer la touche Crtl + Maj (la touche juste au-dessus avec la flèche pointée vers le haut) et taper sur la barre espace en même temps. Comment vérifier que cette manipulation a fonctionné ? Allez dans votre menu Accueil puis dans l’onglet Paragraphe. Sur la première ligne tout à droite, vous allez cliquer sur l’icône ¶. Vous verrez alors les codes secrets du formatage de votre document. Chaque espace entre les mots seront remplacés par • alors que les espaces insécables avant les points d’interrogation et autres seront remplacés par °. Si ce n’est pas le cas, c’est évidemment que vous avez mal fait la manipulation précédente (qui est donc à refaire). Quand vous avez fini de vérifier, cliquez à nouveau sur l’icône ¶ pour retourner au visuel d’origine. Comment faire pour s’assurer que tout le document soit conforme ? Vous pouvez soit vous amuser à vérifier tous les espaces insécables un à un, soit faire un remplacement général à tout votre document qui ne prendra que quelques minutes. Pour ce faire, il vous suffit d'ouvrir votre barre de recherche avec Crtl + F. Dans la zone de recherche, aller dans "Remplacer". Dans "Rechercher", tapez un espace normal suivi du double-point. Dans "Remplacer par", tapez un espace insécable (comme expliqué plus haut) avec un double-point. Remplacez dans tout votre document. /!\ Appliquez cette technique pour tous les caractères spéciaux cités au début de ce point. Pour plus de sûreté, n'hésitez pas à vérifier de temps à autre avec l'outil ¶.
3. Les tirets cadratins et les tirets demi-cadratins
Les tirets cadratins et tirets demi-cadratin sont soumis à des règles essentielles dans l’édition. À ne surtout pas confondre avec un trait d’union (le symbole sous la touche 6 : - ) et le tiret bas (le symbole sous la touche 8 : _).
A. Tiret cadratin —
Le tiret cadratin est le tiret des dialogues dans l’édition française. Ce ne sera jamais un tiret du bas (touche 8 ), mais toujours un tiret cadratin. Pour le trouver, il suffit de se rendre dans Insertion et de cliquer sur les options de symboles dans l’onglet Symbole.
/!\ Attention : Votre logiciel peut formater automatiquement votre document et faire de ce tiret cadratin de dialogue un tiret cadratin de type Puce, c’est-à-dire comme une liste (Point A, point B, etc…). Ce n’est pas bon du tout, il doit être formaté comme si vous utilisiez simplement le tiret du bas. Pour voir si votre tiret cadratin s’est mis en option Puce, il suffit de retourner dans Accueil et Paragraphe, puis de cliquer sur l’icône ¶. Le code pour former l’espace après une Puce est une petite flèche (→). Pour l’utilisation normale du tiret cadratin, l’espace doit être symbolisé par •.
Pour faciliter l’utilisation des tirets cadratin, je vais vous proposer une méthode simple et rapide. À chaque début de dialogue, utilisez le tiret du bas (touche 8 ), puis commencez votre dialogue après un espace. Quand vous finissez un passage ou votre texte dans son ensemble, vous allez effectuer un remplacement général qui ne créera pas d’automatisme Puce. Pour se faire, Allez dans Insertion et cliquer sur Symbole. Retrouvez dans la liste votre tiret cadratin et insérez-le n’importe où dans votre document. Fermez la fenêtre, sélectionnez le tiret sans espace et copiez-le. Maintenant, cliquez en même temps sur Ctrl et F. Votre volet de Navigation s’ouvrira alors automatiquement. Dans la barre de recherche, cliquez sur la petite flèche et sélectionnez « Remplacez ». Une nouvelle fenêtre s’ouvre à vous. Dans « Rechercher », inscrivez le tiret du bas (touche 8 ). Dans « Remplacer par », coller votre tiret cadratin. Cliquez sur « Remplacer tout ». Dans votre document, l’intégralité des tirets du bas des dialogues seront alors remplacés par des tirets cadratin avec un espace sans que le formatage ne l’associe aux Puces. Pour vérifier que cela s’est fait correctement, n’hésitez pas à cliquer à nouveau sur ¶ pour vérifier que les espaces après les tirets cadratins sont remplacés par un •.
/!\ Attention : Vous avez sûrement déjà pu constater que, dans certains ouvrages, le tiret cadratin n’est pas toujours le seul à annoncer un dialogue. Dans certains cas, il y a également l’utilisation de guillemets. Je vous demanderai d’être prudent pour ce genre d’utilisation car, votre texte devant être uniforme, si vous l’utilisez une fois, vous devrez l’utiliser toujours, même pour une seule ligne de dialogue. Comment se présente l’utilisation de ce guillemet ? Au début d’un passage de dialogue, à positionner avant le premier tiret cadratin et à refermer avant le prochain passage narratif. C’est simple, mais il faut y penser à chaque fois, c’est-à-dire à ouvrir le dialogue et à le refermer entre chaque passage narratif, même si lesdits passages narratifs n’ont qu’une seule ligne. C’est un procédé qui se fait de plus en plus rarement, donc à vous de décider si vous souhaitez ou non utiliser cette méthode. Par ailleurs, l’utilisation des guillemets (« ») possède une autre fonction : celle de la retranscription des pensées. En effet, quand un personnage pense, on peut soit l’écrire en italique, soit le mettre en guillemets, soit associer les deux options.
B. Tiret demi-cadratin –
Le tiret demi-cadratin n’est pas le trait d’union de la touche 6. C’est un trait de séparation dans un texte ayant une fonction assez similaire à la parenthèse. La parenthèse peut s’utiliser dans un dialogue, pour inclure un passage narratif entre deux paroles, mais ne peut s’appliquer pour créer un aparté dans une phrase narrative. Pour ce faire, on utilise le demi-cadratin. D'une manière générale, votre logiciel est formaté afin que, entre deux lettres séparées chacune par un espace, le trait d’union (de la touche 6) devienne automatiquement un tiret demi-cadratin. Si ce n’est pas le cas, il vous faudra aller le chercher dans Insertion et Symbole et l’insérer quand nécessaire.
/!\ N'oubliez pas les espaces insécables afin que vos tirets demi-cadratins ne se retrouvent pas seuls à une ligne.
4. Séparations
Pour les amateurs de blogs et autres sites de publication (Fictionpress, fanfiction.net), vous constaterez une mise en page se différenciant par un saut de ligne au début de chaque nouvelle phrase. Il est impossible de contrôler cette mise en page, cependant, vous reconnaitrez qu'elle n'est pas conforme à l'édition (et donc à bannir de vos habitudes). Dans l'édition française, le saut de ligne s'utilise uniquement lorsqu'il est besoin d'avoir une séparation temporelle, qu'elle soit minime ou importante (pouvant même marquer la présence d'un flash-back ou d'un flash-foward), sans avoir besoin de le préciser dans la narration (Exemple : mettre un saut de ligne au lieu de commencer le nouveau paragraphe par "deux jours s'étaient écoulés depuis l'incident" ou "une semaine plus tard, ils avaient rendez-vous" – si cette information n'est pas nécessaire à votre récit, on s'entend).
/!\ Attention : Certains utilisent un séparateur spécifique (*** ou *~* ou ~#~ ou encore ce que l'auteur désire, selon ses goûts). C'est une option tout à fait valable, incluant également un saut de ligne entre le séparateur et le texte (avant et après), mais qu'il faut impérativement garder uniforme à tout votre texte. Il est donc conseillé d'utiliser à nouveau un Style pour configurer ce séparateur automatiquement selon votre besoin (exemple : centré, italique, gras, utilisant une police différente, etc... c'est votre choix). Il est préférable, visuellement parlant, d'avoir ce séparateur centré entre les paragraphes.
5. Accents majuscules
Il est important, dans un récit écrit en langue française, de toujours laisser les accents en début de phrase avec sa majuscule. Pour cela, il faut formater automatiquement votre document. Aller dans Fichier --> Option. Une fenêtre s'ouvre. Allez dans le menu Vérification et cochez la case "Majuscules accentuées en français". Ainsi, le correcteur automatique corrigera automatiquement (ou en vous en proposant la correction) vos phrases en gardant l'accent, ou alors écrivez le mot en minuscule et il se mettra automatiquement en majuscule.
6. Page de garde
N’oubliez pas d’insérer avant le début de votre document, une page de garde qui regroupera toutes les données légales de votre livre (nom, titre, ISBN, collection, éditeur, illustrateur, etc…) La séparer par un saut de page (Menu « Mise en page ») ou utiliser un style de titre comme ceux de vos chapitres.
7. Enregistrement de votre document
Pour que la conversion qui va suivre fonctionne, il faut impérativement que votre document soit enregistré sous format .doc ou .docs (ça dépend de la version Microsoft Words que vous possédez). Ne surtout pas utiliser de .pdf ou de .otd dans ce qui va suivre.
Étape 2 : Création d’un e-book
La création d’un e-book peut se faire avec différents logiciels. Pour ma part, je vous proposerai une méthode simple et efficace via le logiciel Calibre que je vous ai demandé de télécharger au début de cet article. Assurez-vous de faire toutes les mises à jour pour avoir la dernière version en cours.
Ouvrez le logiciel Calibre. Une fenêtre se présente à vous avec un menu en haut, un sur la gauche, diverses informations sur la droite et des icônes en bas. Importez votre document Word. Pour ce faire, faites glisser manuellement, avec la souris, votre fichier, ou cliquez sur l’option « Ajouter des livres » dans le menu en haut à gauche. Cliquez sur « Éditer les métadonnées » et remplissez les champs demandés (titre, auteur, éditeur, couverture, étiquettes – c’est-à-dire les mots-clés – si vous voulez, etc… Si vous avez un ISBN à remplir, il suffit de cliquer sur la petite icône à gauche de Ids. Si le champ « Tri par auteur » est vide et rouge, cliquez sur la flèche bleue à gauche). Validez en cliquant sur « Ok ».
Cliquez ensuite sur « Convertir des livres ». Une nouvelle fenêtre s’ouvre avec un menu à gauche.
Métadonnées :
Tout en haut de la fenêtre, à droite, il y a le choix pour le format de sortie de votre e-book. Choisissez Epub ou Mobi, selon votre besoin. Sous la grande image présentant un livre, il y a une barre de recherche avec une icône à droite représentant un disque dur. Cliquez dessus et cherchez la couverture que vous souhaitez mettre (si elle ne s'est pas automatiquement mise suite à l'opération précédente sur "Éditer les métadonnées"). Dans la colonne de droite, remplir les champs utiles (Titre, auteur, etc…) également s’ils ne sont pas automatiquement remplis.
Apparence :
Cochez : - Intégrer les polices référencées, - Supprimez l’interligne entre les paragraphes (Cette option activera à droite l’option « Taille d’indentation ». Cliquez sur la flèche descendante à droite jusqu'à obtenir « Aucune modification »), - Conserver les ligatures.
Traitement heuristique : à ignorer.
Mise en page : à préciser quelle liseuse vous utilisez, mais option facultative (car vos lecteurs n'utiliseront pas nécessairement la même liseuse que vous).
Détection de la structure :
Dans « Marque de chapitre », sélectionnez « none ». Supprimez tout ce qui est écrit dans le champ « Insérer un saut de page avant (expression Xpath) ».
Table des matières :
Dans le champ « niveau 1 TDM (expression Xpath) », inscrire : « //h:h1 » Dans le champ « niveau 2 TDM (expression Xpath) », inscrire : « //h:h2 »
/!\ Pour les convertisseurs en Epub, vous povez cochez l'option « Réglez manuellement avec précision la TDM après que la conversion soit accomplie ». Cela vous donnera la possibilité de corrigé votre table de matière si besoin.
Sortie Epub
Cochez « Pas de couverture par défaut » afin de retrouver votre couverture enregistrée dans les métadonnées. /!\ Attention : Cette option n'est pas applicable dans les options « Sortie Mobi ».
Une fois tous les champs complétés, validez en appuyant sur « Ok ». La fenêtre de conversion se ferme et un champ d’action s’opère en bas de la fenêtre principale. Une fois tombée à 0%, votre e-book est prêt. Vous n’avez plus qu’à sélectionner votre fichier et le faire glisser dans un dossier, et voilà c’est terminé, vous avez maintenant une version epub ou mobi de votre roman à mettre en ligne !
Dernière édition par Kyoko le Ven 12 Juin - 14:13, édité 10 fois | |
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